Nouvelle profanation de monuments aux morts

Une lourde statue en bronze de soldat, au pied du monument aux morts de Pacé, près de Rennes, a été volée dans la nuit de mardi 22 au mercredi 23. Les élus crient leur colère. Une enquête est ouverte.
Au pied de l’église, des voleurs se sont emparés cette nuit, en plein milieu du bourg de Pacé, de la lourde statue de bronze enchâssée dans la niche du monument aux morts, près de l’église.
Ce soldat gisant en bronze reposait, là, depuis la création du monument en 1920. Il s’agit d’une sculpture de Bourget, dont il avait, pour la petite histoire, fallu couper un bout pour qu’elle tienne dans la niche…
Jugée trop accessible à toutes les mains, la statue en avait été éloignée par quelques marches, ce qui n’a pas arrêté les voleurs. De quoi soulever la colère des élus : « Je trouve scandaleux qu’on ose voler le symbole du courage de ceux qui se sont sacrifiés pour leur pays et je demande instamment à toute personne qui aurait une information de contacter la gendarmerie », dénonce le maire, Paul Kerdraon.

« C’est une profanation », estime son adjoint Jean Paul Lefevre. « Une absence de respect envers nos morts », renchérit Auguste Cochet, président des anciens combattants de Pacé.



L'on voit cette statue au fond lors d'une cérémonie

Bien loin de l’irrationnel et indécent emballement médiatique qui encadre la libération de Florence Cassez, il est des faits graves dont l’absence de révélation accroît encore plus le dégoût que ces faits entraînent. Pour preuve, la dégradation de la stèle du rond-point Bigeard dans la ville d’Aix-en-Provence.
Le 10 janvier dernier donc, la plaque (noire – sur laquelle apparaissait le visage de Bigeard) a été détruite. Il ne reste plus qu’un tout petit morceau du liseré bleu-blanc-rouge, en haut, à gauche.
La plaque avait été inaugurée le 5 décembre 2012, en présence de Mme le Maire d’Aix, du Général Piquemal et des membres de l’UNP.

Tout ceci est a vomir , notre histoire fout le camp .

C'est HONTEUX , je suis dégouté !! Quel sont les enfoirés apatrides qui ont pu osés ? Qu'ils soient maudits ...

Ce geste à l'image de la France actuelle et celle que l'on veut nous faire accepter de gré ou de force.

Il faut vraiment être un faible d'esprit, fieleux et décérébré pour agir de la sorte alors que vivant, le ou les auteurs n'auraient pas osé, de peur, élever la voix face au Général en personne.
Aujourd'hui, ils lèvent la main sur l'une de ces plaques commémorative.
Ce type d'individu est la phange de notre société